Oswald Fischer

Oswald Ehrenfried Fischer (1827-1899), pianiste réputé, fut à Jauer, de 1855 à sa mort, Cantor et directeur d'une école de musique. 

On trouve à cette page quelques précisions sur sa carrière et ses 33 compositions.

On voit ici (à l'Annuaire maçonnique universel pour 1889-90, p. 46) qu'à la période concernée il était le Vénérable de la Loge de Jauer St. Martin zu den drei goldenen Ähren (Saint Martin aux trois épis d'or), fondée en 1849 et dont, selon Heinz Schuler dans son ouvrage Musik und Freimaurerei (Florian Noetzel Verlag, 2016), il était membre depuis 1856 et Vénérable depuis 1870.

Schuler mentionne également des compositions maçonniques (dont nous n'avons pu retrouver trace), au sujet desquelles on peut lire ici (voir p. 161) en 1901 :

Im Verlage von Hermann Oesterwitz in Dessau sind von Bruder O. Fischer zwei Lieder für die Loge Schlussgesang am Logen-Stiftungsfest und Meisterlied erschienen. Die Lieder mögen für den Kreis und für den Zweck, für welche sie geschaffen, durchaus passend erscheinen, die Allgemeinheit aber können Musik und Text, in dem es u. a. heisst: Dem Tod als Freund ins Auge schauen, das ist des Maurers Meisterstück! in keiner Weise interessieren.

On voit ici (p. 9) qu'en 1898, décoré par son Obédience pour ses mérites de Vénérable, il était également membre d'honneur des loges Pythagoras zu den drei Höhen à Liegnitz, zur Treue an der Katzbach à Goldberg, Friedrich zur Treue an den drei Bergen à Striegau et Aurora zur ehernen Kette à Reichenbach.

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