Choeur après l'ouvrage
Nous ne disposons pas encore de fichiers midi pour ces partitions, et serions particulièrement reconnaissant à qui pourrait les établir.
Les recueils de La Chapelle (pp. 21-23) et de Lansa présentent cette chanson nouvelle (que nous n'avons encore trouvée nulle part ailleurs ; une autre chanson, plus connue, commence également par Buvons, buvons, mais elle est différente), au texte aussi festif que simple, Buvons, buvons puisqu'il est temps de boire, chanson qui est même présentée en 3 versions différentes :
Buvons,
buvons, puisqu'il
est temps de boire,
Et célébrons des Francs-Maçons, L'immortelle mémoire. |
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Et l'on peut supposer que cette chanson était fort appréciée, puisqu'elle est une des quatre dont le chansonnier donne aussi (pp. 37-38), en deux versions, la Basse de tous les choeurs pour la commodité des Frères qui veulent les apprendre :
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Chose curieuse, sur une page du très riche site Poèmes satiriques du XVIIIe siècle et, avec la (très précoce) mention de date 1736 et sous les références $5650 et Bibliothèque Mazarine, manuscrit de Castries 3989, pp. 311-14, on retrouve ces trois vers, mais considérés comme un refrain du Chant des Apprentis et avec la mention d'air Buvons, frères, buvons. Cet air (qui n'a rien de commun avec ceux ci-dessus) est visible (sous le n° XLI) à la p. 16 de la partie partitions en fin du volume Les nymphes de Diane.