Et in terra pax ...
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Au XVIIIe, nous n'avons encore trouvé cette chanson (pleine d'un enthousiasme sans limites !) qu'aux pages 180 à 182 d'une des éditions (C) du Recueil de Jérusalem.
On la retrouvera au XIXe, dans le recueil de Holtrop (p. 521), sous le simple titre A une loge qui vient d'être instituée, mais sans l'avant-dernier couplet.
Voir l'air du Vaudeville d'Epicure, dont l'incipit est Vous qui du vulgaire stupide.
ET IN TERRA PAX
HOMINIBUS BONAE VOLUNTATIS.
CANTIQUE A une loge qui venait d'être instituée. Vaudeville d'Epicure.
Vous, qui sous les chastes auspices
Par la voix de la renommée, |
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Je viens contempler la splendeur, Et de la vertu, que j'adore, Y chercher l'éclat enchanteur.
Je l'y trouve ; je lís, mes
frères,
Puisse un goût si pur et si sage,
Pour moi, qu'un sort
des plus sévères |
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Et des miracles que j'ai
vus, Je vais, dans l'ardeur qui me presse, Publier au loin vos vertus.
Au vénérable.
Mais toi qui, dans ce sanctuaire,
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