Chanson d'allégresse

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Ces pages sont les pp. 203 à 205 de La Lire Maçonne. Cette chanson semble assez rare : nous ne l'avons retrouvée dans aucun autre chansonnier du XVIIIe, à l'exception du recueil de la Veuve Jolly, qui (p. 126) n'en donne que le texte, avec la mention sur l'Air Oui je l'aime pour jamais.

Elle sera  reprise en 1806 (p. 249) par la Muse maçonne.

 

Chantons, chers frères maçons
Les biens dont nous jouissons
Que chacun de nous s’empresse
A réveiller l’allégresse
Qui doit régner en ces lieux ;
Et que sans cesse
Notre tendresse
Nous fasse mille envieux.

Oui je l'aime pour jamais est une ariette de la comédie de Favart (1755) Ninette à la Cour, ou le Caprice amoureux.

On en trouve ici la partition - qui correspond à celle ci-dessus.

 

 

 

ci-contre : Mme Favart dans Ninette à la Cour

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