Le triomphe de l'amitié
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Ces pages sont les pp. 288 et 289 de La Lire Maçonne, qui semble être le seul chansonnier du XVIIIe à la donner (comme c'est l'oeuvre du Frère du Bois, son champ de diffusion ne semble donc pas avoir dépassé les Pays-Bas).
La chanson sera reprise en 1806 (p. 174) par la Muse maçonne.
Le triomphe de l'amitié
Par le Frère du Bois De l'union la plus charmante, Il n'est point de plaisir plus
doux, Des Francs-Maçons c'est
l'apanage : Il n'est point &c. Ce n'est point un titre stérile, Il n'est point &c. |