(Manque le début)
...
Chantons, béniffons mille fois
Des maçons les heureufes loix.
Ami, dont le fublime vœu
Eft rempli par notre fuffrage,
Je ne connoiffois que ce nœud
Qui pût nous lier davantage :
Qu’à jamais ce nœud-gordien
Faffe ton bonheur & le mien !
Goûtons la douceur d’être unis
Par les deux plus beaux caractères ;
Jufqu’ici nous n’étions qu’amis,
Et maintenant nous voilà freres.
Qu’à jamais ce nœud-gordien
Faffe ton bonheur & et le mien !
|