Invocation pendant la procession
En cliquant ici, vous entendrez cet air, séquencé par Alain la Cagouille
La première publication de ce cantique est dans le recueil du Locle de 1842, à la p. 8.
Le texte sera recopié en 1865 (p. 8) dans le recueil de La Bonne Harmonie de Neuchâtel.
On le retrouve (images ci-dessous) aux pp. 3-4 du recueil Alpina de 1901, qui en donne aussi une partition, alors que les éditions précédentes se contentaient de mentionner Air : du songe de Rousseau, n° 37.
1.
Etre infini, dont la toute-puissance
De l'Univers régit l'immensité ;
Rien ne se fait que par ta Providence,
Et sous nos yeux tout prouve ta bonté.
Adorateurs de ta sagesse ,
Nous sollicitons tes bienfaits ;
De tes enfants pardonne la faiblesse ;
Entends leurs voix, exauce leurs souhaits
2.
De ton flambeau que la vive lumière
Fasse à nos yeux briller tout son éclat ;
Qu'à sa splendeur notre raison s'éclaire
Et livre au vice un éternel combat.
De nos coeurs éloigne la haine,
Fais-y régner la charité ;
Bénis, protège à jamais notre chaîne,
Donne lui force et sagesse et beauté !