Ah, quels objets charmants
Cette chanson, d'incipit Ah, quels objets charmants, décrit de manière hyperbolique la félicité du maçon dans sa Loge.
Elle figure à notre connaissance uniquement à la page 42 du recueil de 1765 du Choix des Hommes libres.
L'air mentionné, Ah, laissez-moi Colin, ne nous est pas connu.
Mais on trouve la réplique laisse-moi Colin dans le duo de Colin et Fanchette qui ouvre l'opéra-comique, datant de 1765, Le Tonnelier de Nicolas-Médard Audinot (1732-1801) et François-Antoine Quétant (1733-1823) ; la musique en est attribuée notamment à Gossec et Philidor.