Le Chef-d'Oeuvre
Cliquez ici (midi) ou ici (MP3) pour entendre cet air
Au XVIIIe, nous n'avons encore trouvé cette chanson qu'à la page 183 d'une des éditions (C) du Recueil de Jérusalem.
Nous n'avons pu déterminer qui était le Frère B., Vénérable de la Loge R., auquel ses capacités d'architecte (appliquées, si nous comprenons bien, à la construction du Temple de cette Loge) avaient valu un hommage aussi appuyé.
On retrouvera cette chanson au XIXe :
dans la partie francophone du Free-mason's vocal assistant paru à Charleston en 1807 (p. 203)
dans le recueil de Holtrop (p. 524), avec le sous-titre modifié Au vénérable d'une loge visitée et en remplaçant, au 5e vers du 2d couplet, De B. par Frères ! (la personnalisation d'origine n'a en effet plus de raison d'être quelques dizaines d'années plus tard).
Voir l'air du Vaudeville d'Epicure, dont l'incipit est Vous qui du vulgaire stupide.
Le chef-d'oeuvre ;
Au Respectable Frère B., architecte & vénérable de la loge R..., que l'auteur avait visitée
Air : Vous qui du vulgaire stupide.
Cessons une plainte éternelle Après cet édifice auguste, |