La sentence maçonnique :
Fraternité, gaîté, sagesse et bienfaisance
Cliquez ici pour entendre la partition donnée par la Clé du Caveau pour l'air mentionné
La première édition que nous connaissions de cette chanson est aux pp. 145-6 de Mon portefeuille de Legret en 1806, sous le titre La sentence des francs maçons.
Une édition plus tardive (avec un couplet supplémentaire, le dernier) figure aux pp. 275-6 (reproduites ci-dessous) du Chansonnier des bonnes gens du même Legret.
Voir ici sur l'air Aux montagnes de la Savoie.
Dans Mon portefeuille, il était donné une précision complémentaire : Aux montagnes de la Savoie, avec la ritournelle. Nous supposons qu'est ainsi visé le refrain Et tic, tic, tac ... qui effectivement n'a pas de correspondance dans la romance de Doche. S'agirait-il des portées figurant à l'une des partitions que nous mentionnons pour cet air, mais pas à l'autre ?
La sentence maçonnique.
Air : Aux montagnes de la Savoie
Sur un air qui soit agréable,
Le maçon n’est point infaillible,
Envers l’étranger, le profane,
Des maçons la joie est parfaite,
Dans un symbolique langage, |