Die Weihe

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Ce lied de Huber est un des trois qui font partie du recueil Akazienblüthen aus der Schweiz.

Il s'agit du traditionnel avertissement à ceux qui viendraient en maçonnerie dans l'espoir d'y trouver un avantage matériel.

Nous ne reproduisons ici que le début (la partie figurant à la partition) de ce long poème.

L'auteur du texte, Zschokke (la table précise H. Zschokke) est certainement le littérateur Johann Heinrich Daniel Zschokke (1771-1848), qui, après avoir été initié à la Loge Zur Edlen Aussicht de Fribourg-en-Brisgau (fondée en 1784), fut en 1811 (avec notamment Friedrich Heldmann, qui est l'éditeur des Akazienblüthen) un des fondateurs de la Loge d'Aarau Zur Brudertreue.

DIE WEIHE. 

Von Br.'. ZSCHOKKE. 

Wem in des Busens heil'gen Gründen 
Sich keine schöne Ahnung regt; 
Wer, um das höchste Gut zu finden, 
Nur an den Fels der Wüste schlägt: 
Der nahe nimmer unserm Kreise; 
Ihm ist das grosse Weltall leer; 
Er steht verarmt, wie eine Waise, 
Und findet keinen Frieden mehr.

Chor.

Er steht verarmt, wie eine Waise, 
Und findet keinen Frieden mehr.

 La consécration

Texte du Frère Zschokke

Au sein des lieux sacrés 
Celui qui n’est pas animé de belles intentions,
Mais espère y trouver les plus grands biens,
N’obtiendra que rocaille du désert :
Jamais il n’approchera notre association
Pour lui l’univers restera vide ;
Il s’en retrouvera appauvri, tel un orphelin,
Et jamais plus la paix il ne retrouvera.

Choeur

Il s’en retrouvera appauvri, tel un orphelin,
Et jamais plus la paix il ne retrouvera.

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