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Cette page est la p. 240 du Code Récréatif des Francs-Maçons.

Il s'agit d'une chanson très répandue au XVIIIe, présentée ici dans sa version (en 3 couplets) la plus fréquente, mais où le doux et charmant festin devient (probablement suite à une faute de transcription, puisque la métrique n'est plus respectée, non plus d'ailleurs que l'euphonie) un divin et charmant festin.

Le dernier couplet évoque la gestuelle particulière des santés, telle que décrite par exemple ici.

Voir ici sur l'air.

AUTRES, Air : Que j'estime mon cher voisin. Dans ce divin et charmant festin Où règne l'innocence, Chaque Maçon le verre en main, Bénit l'intelligence. La vertu qui règne en ces lieux, De notre art fait l'éloge : On la voit aussi dans les yeux Du Maître de la Loge. A ceux que nous avons reçus Buvons d'accord, mes frères, Et que les mouvemens connus Soient marqués par nos verres.