COUPLETS

Pour le jour de la Fête d'un Maître de Loge

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Cette page est la p. 496 de La Lire Maçonne

Il est renvoyé pour l'air à la p. 148.

COUPLETS

Pour le Jour de la Fête d'un Maître de Loge.

Sur l'Air : Moi qui ne suis point revêche, p. 148.

 

Célébrons de notre Maître
L'heureuse fête en ce jour ;
L'amour qu'il nous fait paroître
Mérite un tendre retour,
On voit avec lui renaître
La paix dans ce beau séjour.

 

Que ce bouquet agréable,
Composé de mille fleurs,
En répandant sur la table,
Les plus charmantes odeurs,
Soit l'emblème véritable,
De l'offrande de nos cœurs.

 

Buvons au Très Vénérable,
Frères, d'un parfait accord ;
Sa douceur, son air aimable,
Est pour nous un vrai trésor ;
Il préside à cette table
Pour ramener l'âge d'or.

On trouve le même texte (p. 46) au Recueil de Ste Geneviève, mais sous le sous-titre de Couplets ajoutés pour le jour de la Fête du Maître de la Loge par le Frère Timebor à la chanson des pp. 44-5, Tous les plaisirs de la vie, qui est précisément celle à laquelle renvoie celle-ci pour l'air (p. 148).

On retrouvera la chanson au XIXe chez Holtrop (p. 417) et à la Muse maçonne de 1806 (p. 316). Et, la même année, elle sera recopiée de là dans le recueil d'Eleusine (pp. 66-7). 

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