Pour notre mère sublime

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Ces pages sont les pp. 507 et 508 de l'édition 1787 (elles sont absentes des éditions antérieures) de La Lire Maçonne. L'air à utiliser est manifestement, même s'il y a une erreur typographique, celui de la p. 116.


          

A LA GLOIRE DE TOUS LES
GRANDS ORIENTS
ET DE TOUS LES 
GRANDS O F F I C l E R S

Air Les Plaisirs &c., Page 110.


Frère Chanteur. Gravement.

Pour notre Mere sublime,
L'Ordre appelle nos transports.
Que notre zèle s'exprime
Par les plus nobles efforts.

Fr. Surv. Adagio. Maître Vénérable !

Ven: Mtre. Frère Respectable !

Fr. Chant. Allegro.  Vous Appprentifs & Compagnons,
Des sages chefs des Francs Maçons
Suivez à jamais les leçons.

Choeur Adagio. Nous les suivrons, bis.

Fr. Chant. Allegro.   Pour une Mere,
Qui nous est chère,
Faisons grand feu de nos Canons.
Et chantons, bis.
La Métropole des Maçons.

Choeur. Adagio.  Et chantons, bis.
La Métropole des Maçons.

Frère Chanteur. Gravement. 
Au Grand Maître d'Angleterre ;
Aux Chefs des Grands Orients ;
A tous ceux qui, sur la Terre,
Gouvernent notre Art brillant.

Fr. Surv. Maître Vénérable,

 Ven. Mtre. Frère Respectable,

Fr. Chant. Allegro.  Vous Apprentifs & Compagnons,
Faites grand feu de vos Canons ;
Et travaillons en vrais Maçons. 

Choeur Adagio. Nous vous suivrons, bis

Fr. Chant. Allegro. De la Lumière,
Qui nous éclaire,
Ne souillons, Jamais les rayons.
Et prouvons,
bis.
Que nous sommes de bons Maçons.

Choeur. Adagio.  Et prouvons, bis
Que nous sommes de bons Maçons.

Frère Chanteur.
Si pour égayer nos tables,
Les Ris suivent les Vertus ;
Gardons nous d'être coupables,
Par des indiscrets abus.

Surv. Maître Vénérable,

Ven. Mtre. Frère Respectable,

Fr. Chant. Allegro.   Vous Apprentifs & Compagnons,
Prouvons aux chefs des Fr. Maçons.
Que nous remplissons leurs leçons.

Choeur Adagio.  Obélssons, bis.

Fr. Chant. Allegro.   Pour nous ces armes,
Ont tant de charmes,
Faisons grand feu de nos Canons. 
Et chantons,
bis
La Métropole des Maçons

Choeur. Adagio. Et chantons, bis
la Métropole des Maçons

On retrouve ce texte dans deux des chansonniers de Le Bauld-de-Nans. On se reportera à la page correspondante pour l'analyse des différences.

Un texte très voisin a été mis en musique par Hanssens.

On retrouvera cette chanson en 1806 dans la Muse maçonne (pp. 320-2).

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