Saint-Jean d'été 1807 chez Ste-Thérèse des Amis de la Constance :

Cantique

Cette chanson est la 2e (pp. 30-31) des 4 qui terminent le Précis des Travaux de la R.L. de Sainte Thérèse des Amis de la Constance, à l'Orient de Paris, le 13e jour du 5e mois 5807 (13 juillet 1807) à l'occasion de la Fête de la Saint-Jean d'été, de celle des Victoires remportées par Napoléon-le-Grand et de celle du Frère Harger père, Vénérable de ladite Loge.

Elle est intitulée Cantique maçonnique chanté par le Frère Delorme, Rose-Croix du Souverain Chapitre des Amis à l'Epreuve à la Vallée d'Avignon, et Orateur de la Respectable Loge de la Triple-Union éprouvée, à l'Orient de Nismes.

Ce Frère Delorme a-t-il quelque chose à voir avec celui, initié à Lyon, qui en 1806 était Orateur de la Parfaite Réunion à Paris et auteur des Bluettes maçonniques ? Il semble que ce ne soit pas le même, puisqu'en 1807 il se présente ici comme un visiteur venant de Nîmes.

Il s'agit visiblement ici d'un cantique destiné aux nouveaux initiés : effectivement, en début de Tenue, un profane avait été introduit et reçu en la manière accoutumée.

Nous n'avons pas trouvé l'air O vous que le besoin d'aimer !

         

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