Cantique
chanté à la Respectable Loge des Amis Intimes à l'Orient de Paris
Cliquez ici pour entendre l'air mentionné, séquencé par B. A.
Ce Cantique chanté (ndlr : comme ceux des pp. 136 et 158) à la Respectable Loge des Amis Intimes à l'Orient de Paris (ndlr : cette Loge, dont Desveux fut membre, avait été installée en 1784) provient des pages 163-4 du recueil édité par Desveux en 1804.
Très souvent le traditionnel cantique de clôture est situé en dernier dans les recueils ; ici, il est également en fin de recueil, mais pas le tout dernier puisque, sous prétexte d'apporter un peu de nouveauté, il est encore suivi de celui-ci.
L'épigraphe
Freres et Compagnons
De la Maçonnerie,
Rendons grace au destin
Du doux noeud qui nous lie
rappelle évidemment, en les transformant en alexandrins et en les modifiant pour la rime (Du noeud qui nous assemble est remplacé par Du doux noeud qui nous lie), des vers pris dans deux couplets du Chant des Apprentis dont est extrait le cantique de clôture.
L'air indiqué est Allons donc ma soeur cadette ; comme on peut le voir ici, Allons donc ma soeur cadette est l'incipit d'un couplet qui se chante sur Allons donc, Mademoiselle, air qui est donné sous le n° 33 par la Clé du Caveau avec le titre alternatif c'est la petite Thérèse (cette partition correspond d'ailleurs à celle donnée sous le n° 26 par le nouveau recueil précité).
La signature F... de la R... Auth... nous laisse perplexe.
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