La Maçonnerie
depuis le commencement des âges
Cliquez ici (midi) ou ici (MP3) pour entendre l'air, tel que donné par Naudot
Curieusement, le recueil d'Orcel reprend l'une ou l'autre chanson très connue au XVIIIe, mais tombée en désuétude au XIXe.
Juste avant la Chanson des Compagnons (p. 155), il donne (p. 153) - sous un autre titre, La maçonnerie depuis le commencement des âges - cette chanson qui figurait déjà au chansonnier de Naudot (et dans bien d'autres) sous le titre Chanson des Surveillants.
Pas plus que pour la Chanson des Compagnons, Orcel n'indique l'air, ce qui est normal puisque ces chansons étaient sur des airs originaux, pour lesquels il ne pourrait donner de référence.
Il omet également le dernier couplet, ainsi que le refrain (destiné à être chanté en choeur).
Mais il a également procédé à un toilettage du texte, qui se trouve ainsi par endroits quelque peu laïcisé. Pour le constater, il suffit de comparer le texte d'Orcel (à gauche) avec le texte original tel que chez Naudot (à droite ; nous avons colorié les changements les plus significatifs).
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1. Adam à
sa posterité
2. Jabal, le
pere des pasteurs,
3. Jamais
Neptune sur ses eaux
4. Les
Mortels devenant nombreux,
5. Le
mépris du divin Amour
6. Moïse
par le Ciel guidé,
7. Le
pacifique Salomon |
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8. De l'Art
toute la majesté Choeur De notre
Art chantons l'excélence : |