Fête de l'Ordre à Reims en 1825
Ces couplets constituent une des 5 chansons reproduites au feuillet souvenir de la Fête de l'Ordre de la Loge rémoise de La Sincérité, le 28 décembre 1825, feuillet reproduit à l'article de Pierre Guillaume paru dans les Chroniques d'histoire maçonnique et intitulé Huit chansons maçonniques (XIXe siècle) de la Loge "La Sincérité" à l'Orient de Reims.
La chanson est une des deux que le Frère Emile, visiteur, a chantées lui-même.
Après quelques considérations sur le symbolisme des outils (qui sont fort sommaires, et peu conformistes : le niveau par exemple est pris ici comme symbolisant le droit chemin que doit suivre un Maçon plutôt que, comme il est d'usage, l'égalité entre maçons), les couplets sont essentiellement consacrés à l'éloge de la philanthropie maçonnique, tout en encourageant vivement le profane à devenir maçon.
Qu'on soit né sur les bords du Tage est l'incipit de Mon pays avant tout, chanson faite par un Français, qui doit se chanter sur l'air Mes chers amis, laissez-moi mon erreur.
Air : Qu'on soit né sur les bords du Tage, etc. ; mon pays avant tout.
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