Solstice d'Eté à la Triple Unité en 1810
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Ces couplets font partie de ceux qui furent chantés au cours du banquet qui a suivi les Fêtes de l'Ordre et du Vénérable ad vitam (le Frère Defondeviolle), célébrées le dix-neuf juin 1810 à la Loge écossaise (parisienne) de la Triple Unité à l'occasion de la Saint-Jean d'Été.
Ils figurent aux pp. 57-8 du Tracé de ces Travaux, qui signale que :
Parmi plusieurs couplets intéressants, par lesquels chaque frère s'empresse d'embellir la fête, on distingue les suivants, faits et chantés par le Vénérable d'honneur ad vitam (ndlr : le Frère Defondeviolle).
Les maçons tendent souvent à porter leur propre Loge au pinacle (et cette chanson en est un exemple presque caricatural), au risque même de vexer les autres (danger que le dernier couplet cherche manifestement à parer).
Voir ici sur l'air Femmes, voulez-vous éprouver ?
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Air : Femmes, voulez-vous éprouver ?
Profane, quitte ton erreur, Le plaisir qu'ici nous goûtons, Si notre sort te paraît doux, aux Apprentis. Vous, qui venez d'être reçus aux Frères Visiteurs. O respectables visiteurs, (*) Le Vénérable Leger de Bresse. |