La douce paix
Cliquez ici pour entendre un MP3 de cet air, établi à l'aide de cette page du site NEUMA.
A l'édition 1787 de La Lire Maçonne, le contenu initial des pages 176-7 est comprimé sur une page et demie, afin de faire la place à cette chanson nouvelle, qui occupe ainsi la partie inférieure de la p. 177.
On trouve également cette chanson :
à la Lyre maçonne de 1768 pour le Marquis de Gages (p. 40)
dans de nombreuses versions des Chansonniers de Jérusalem, notamment à la p. 68 de l'édition dite B, à la p. 56 de l'édition dite D, à la p. 36 de l'édition dite A, à la p. 75 de l'édition dite C.
On la retrouvera au siècle suivant dans la Muse maçonne de 1806 (p. 106).
On remarque que ce sont ici les mots de probité et équité qui ont été choisis pour caractériser le maçon, alors qu'on est maintenant plus habitué à entendre associer pour cela probité et liberté. La liberté ne sera systématiquement évoquée qu'à partir du XIXe comme un fondement de l'idéal maçonnique, qui au XVIIIe est surtout basé - à côté de la bienfaisance - sur la découverte de l'égalité.
Voir ici sur l'air Dormir est un temps perdu.
LA DOUCE PAIX. Air : Dormir est un tems perdu. DEs vertus j'étais jaloux, Tout caractère orgueilleux |