L'Amitié Constante
Cliquez ici pour entendre le fichier midi de la partition ci-dessous
Ces pages sont les pp. 214 et 215 de La Lire Maçonne.
La chanson a été utilisée par Colizzi pour le deuxième de ses canons.
Le seul autre chansonnier du XVIIIe où nous l'ayons trouvée est le recueil de la Veuve Jolly, qui la donne (pp. 42-4), sous le titre Chanson, non avec la partition ci-dessous, mais avec celle de l'air alternatif proposé L'Amant frivole et volage. Le texte est identique, à l'un ou l'autre détail près.
On la retrouvera en 1806 à la Muse maçonne (pp. 120-1).
|
L'Amitié Constante
Sur l'Air : L'Amant
frivole et volage,
Ah ! quel plaisir délectable
! Si l'amour a quelques charmes, Le tems enlaidit la belle, Loin des fracas de la Ville, Loin de nous, censeurs sévères, |