POÉSIES ET CHANSONS MAÇONNIQUES

AU TRÉS-DIGNE FRERE
DE C*****,
VISITEUR DE LA LOGE D.
En lui préfentant la cantate fuivante.

page précédente page précédente page suivante page suivante
C******, j’ignore le langage
Du dieu du Pinde & des neuf foeurs,
Mais je connois tout l’avantage
Dont nous devenons poffeffeurs.
Votre ame eft pleine de douceur,
Du vrai maçon elle eft l’image ;
Les graces & la belle humeur
Sont peintes fur votre vifage.
De ces vers acceptez l’hommage ;
Je vous fais de foibles préfens,
Mais vous ferez grace à l’ouvrage,
En faveur de mes fentimens.
page précédente page précédente page suivante page suivante