Joseph BARTA
Organiste à Prague, il s'installa ensuite à Vienne, où il travailla pour le théâtre.
Ses compositions comprennent des sonates, 6 quatuors, 13 symphonies, 4 concertos pour clavecin, et des opéras : La Diavolessa (d'après Goldoni, 1772), Da ist nicht gut zu rathen (1778), Der adeliche Taglöhner (1780), Il Mercato di Malmantile (d'après Goldoni, 1784). Ces oeuvres semblent complètement oubliées, à tel point qu'il ne semble en exister aucun enregistrement.
Dans son ouvrage L'Invenzione della gioia, Musica e massoneria nell'età dei Lumi, Alberto Basso le signale comme membre des Loges viennoises Zu den drei Feuern en 1785 et Zur neugekrönten Hoffnung en 1786. Dans son ouvrage Mozart and masonry (p. 42), Nettl le donne comme membre de cette dernière Loge.