Parenti

En 1802, il fut engagé à l'Opéra italien comme chef de choeurs et pianiste-accompagnateur, mais reprit un an plus tard sa profession principale de maître de chant.

La liste de ses opéras est donnée par les sites operone et Italian Opera.

Fesch signale (col. 452) l'impression d'une cantate exécutée à la Loge des Chevaliers de la Croix le 3.12.1807 pour la Saint-Jean d'Hiver, avec paroles du Frère Decourchant fils et musique du Frère Parenti. 

Nous avons effectivement trouvé, aux pp. 174-5 du Tome V (1808) des Annales maçonniques de Caillot (ce tome est accessible sur Google-Books), une cantate non datée (intitulée Le Temple maçonnique - chant religieux) faite pour la célébration de la fête de Saint Jean, dans la Loge des Chevaliers de la Croix, avec musique du Frère Parenti (mais il est ici mentionné que l'auteur des paroles est le Frère Dergny).

Le Tome VIII des mêmes Annales maçonniques contient également (p. 133-4) des Strophes chantées à la Loge des Chevaliers de la Croix intitulées les Mystères, dont le Frère Parenti est mentionné comme le compositeur de la musique, mais ici le texte est de Le Blond. Ces strophes se retrouveront (pp. 139-140) à la Lyre des francs-maçons en 1830, avec un couplet supplémentaire.

Dans le Tome 2 (1840) du Globe, il est cité (p. 124) comme ayant été membre de la Colonne d'Harmonie de ladite Loge.

Sauf (très improbable) homonymie, ceci peut être considéré comme signant l'appartenance maçonnique de Parenti, qui à notre connaissance n'avait encore jamais été relevée avant la mise en ligne, le 2 mars 2008, de la présente page.