Cantate à deux voix
pour la Fête de l'Ordre
Cliquez ici pour entendre cet air, séquencé par Christophe D.
Le chansonnier maçonnique et profane d'Azé contient (pp. 17-19) cette cantate.
Conçue pour
une solennité, elle n'échappe pas à l'emphatique conformisme souvent de
mise en pareille circonstance. Mais son intérêt principal réside dans
l'identité des participants :
Balochi
et Plane.
CANTATE A DEUX VOIX, POUR LA FÊTE DE L'ORDRE, EXÉCUTÉE LE 22e. JOUR DU IIe. MOIS DE L'AN DE LA V(raie) L(umière) 5818 (22 JANVIER 1819), DANS LA L(oge) ARÉOPAGISTE D'ISIS, O(rient) DE PARIS. L'Harmonie doit précéder l'exécution de cette Cantate. AIR de l'Amandier, musique de BALOCHI ; accompagnement de harpe et de cor, par le Frère PLANE. QUELLE harmonie enchanteresse,
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Que l'impiété, l'imposture
Qu'un vulgaire léger nous blâme,
De l'orgueil altier et du vice |
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Prêt
à terminer sa carrière, Le méchant seul est agité ; Le juste, à son heure dernière, Voit sans effroi l'éternité.
Au Très Cher Frère RAVEAU, Vénérable. Vous qui, de cet auguste Temple, |
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L'air (dont première page ci-contre) est celui de l'Amandier, Romance à deux voix qui avait fait la gloire de Balochi (Balloco). La partition complète peut être téléchargée ici. |