Les on dit
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Cette chanson figure au Manuel du franc-maçon de Bazot (p. 351 dans la 3e édition, de 1817 ; p. 211 dans la sixième, de 1835 ; p. 349 dans celle de 1855).
C'est, sur un ton analogue à celui d'une chanson plus tardive, Dans leurs sombres cavernes, un amusant témoignage de l'ironique auto-défense des maçons contre la mauvaise réputation que leur font leurs adversaires.
Les On-dit Air : C'est le meilleur homme du monde On dit que
Messieurs les Maçons On m'avait dit
qu'ils s'occupaient Comme on
les dépeignait affreux |
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On retrouve cette chanson à l'identique (col. 628) à L'Univers maçonnique (d'où César Moreau l'a recopié à la p. 84 de son Précis sur la franc-maçonnerie) et (pp. 84-5) au recueil d'Orcel de 1867.
On en trouvera aussi une variante plus développée (5 couplets) également en 1867.