Quatuor

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En cliquant ici, vous entendrez l'air de la partition de Abt, séquencé par Alain la Cagouille

La première publication de ce cantique est dans le recueil du Locle de 1842, aux pp. 21-2, sous le titre Sixième santé d’obligation : à la prospérité de tous les maçons répandus sur la surface du globe.

Le premier couplet est recopié du 3e d'un cantique de clôture de Grenier datant du début du siècle, tandis que le second est, à notre connaissance, nouveau.

Le texte sera recopié en 1865 (pp. 20-1) dans le Recueil de La Bonne Harmonie de Neuchâtel, selon image ci-dessous.

Mais ici il s'agira (puisque la première a disparu) de la Cinquième (et dernière) santé. Alors que les Santés d'Obligation lors des Banquets sont en général à cette époque au nombre de 7, cette Loge se limite en effet à 5.

Ces éditions mentionnent comme Air : Aussitôt que la lumière

 

1.

Que chacun de nous apprête
Sa barrique, son canon,
Et qu'il couronne la fête
En buvant en Franc-Maçon,
A la santé de nos frères,
Bons humains et vrais amis,
Qui sur les deux hémisphères
Quoique épars sont réunis.
(Choeur). A la santé, etc.

 

 

2.

Qu'ils trouvent d'une patrie,
En tout pays, les douceurs ;
Partout qu'une main chérie
Soit prête à sécher leurs pleurs.
Qu'un coeur pur soit l'apanage
Des Francs-Maçons en tous lieux ;
Que le terme du voyage
Soit l'orient des bienheureux.
(Choeur). Qu'un coeur pur, etc.

On retrouve la chanson (images ci-dessous), sous le titre Quatuor, aux pp. 8-9 du Recueil Alpina de 1901 (qui ne contient aucune Santé), lequel en donne aussi une partition, qui est empruntée à Abt.

S'agissant d'un quatuor, la reprise en choeur a été supprimée. A noter aussi que le Que chacun de nous apprête est devenu Que chacun de vous apprête.


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