Couplets
pour la Fête du Vénérable
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Cette chanson (dont nous n'avons pas trouvé d'autre édition) provient des pp. 33-5 du recueil d'Honoré, où elle est la deuxième d'une série de 3 dues au Frère Garnier.
Dès le XVIIIe (et plus encore au XIXe, particulièrement dans la période impériale), la Fête du Vénérable est une source d'inspiration traditionnelle du chansonnier maçonnique.
On y trouve la tout aussi traditionnelle évocation d'Astrée.
Comme à son habitude, Honoré y étale des abréviations maçonniques (avec trois points alignés) aussi inusuelles que (au couplet 2) ti[rant] leurs ca[nons].
Chommer une fête (cfr. dernier couplet), c'est la célébrer (et dès lors s'abstenir de travailler ce jour-là, d'où le sens actuel de jour chômé).
Voir à propos de l'air Les Bourgeois de Chartres.


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