Couplets

pour la Fête du Vénérable

Cliquez ici pour entendre le fichier midi de l'air désigné (qui est aussi celui de la page 423 de la Lire maçonne)

Cette chanson (dont nous n'avons pas trouvé d'autre édition) provient des pp. 33-5 du recueil d'Honoré, où elle est la deuxième d'une série de 3 dues au Frère Garnier.

Dès le XVIIIe (et plus encore au XIXe, particulièrement dans la période impériale), la Fête du Vénérable est une source d'inspiration traditionnelle du chansonnier maçonnique.

On y trouve la tout aussi traditionnelle évocation d'Astrée.

Comme à son habitude, Honoré y étale des abréviations maçonniques (avec trois points alignés) aussi inusuelles que (au couplet 2) ti[rant] leurs ca[nons]

Chommer une fête (cfr. dernier couplet), c'est la célébrer (et dès lors s'abstenir de travailler ce jour-là, d'où le sens actuel de jour chômé).

Voir à propos de l'air Les Bourgeois de Chartres.

     

Retour au sommaire du recueil d'Honoré :

Retour au sommaire du Chansonnier :