pour les Apprentis 

Cette chanson, qui est un conseil aux Apprentis, ne se trouve au XVIIIe que dans les trois chansonniers qui ont en commun le sous-ensemble Divers petits couplets sur la maçonnerie, à savoir :

• à la p. 132 de l'édition dite B des Chansonniers de Jérusalem (c'est cette édition qui est reproduite ci-dessous)

• à la p. 146 de l'édition F

• à la p. 193 du recueil de Lausanne (édition 1779)

Dans ce sous-ensemble, la chanson fait partie d'une série de trois adressées successivement aux Apprentis, aux Compagnons et aux Maîtres. Mais c'est la seule des trois qui ne figure que dans les deux chansonniers précités, alors que les deux autres connaissent de nombreuses autres éditions (où elles ne se suivent d'ailleurs aucunement).

Nous n'avons pu identifier d'air C'est le moyen de parvenir. Cette phrase est le leitmotiv d'un texte de Moreau (de Commagny), de même métrique, publié en 1806 dans le Chansonnier du Vaudeville avec l'intitulé Le moyen de parvenir et la mention air nouveau ; mais la date ne concorde évidemment pas.

Semble également une fausse piste le fait que C'est le moyen de parvenir est un vers du Ballet du moyen de parvenir pour des artisans de Scarron.