Le fleuve de la vie
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Cette pièce est une des trois chansons maçonniques (on peut en voir une autre ici ; une autre encore figure aux pp. 7-8 du recueil Le Banquet maçonnique) que nous connaissons qui utilisent l'air du fleuve de la vie tout en pastichant sa structure (et en reprenant le dernier vers de chaque couplet).
La plus ancienne édition que nous en connaissions est, sous le titre Vaudeville maçonnique et la signature du Frère Moreau, aux pp. 7-8 du recueil Cantiques de quelques Frères de la Respectable Loge de la Parfaite Réunion. Le texte en sera reproduit à la p. 147 de la Lyre maçonnique pour 1812 et, sous le titre Couplets chantés à la Loge de la Parfaite Réunion, aux pp. 136-7 du recueil Chansons et poésies diverses de C. A. Moreau, membre du Caveau Moderne, recueil publié sans date mais qui n'est certainement pas antérieur à 1814 (Google-livres donne 1820).
Nous l'avons retrouvé (image en colonne de gauche ci-dessous) dans le n° 2 de L'Univers maçonnique (colonne 236), avec un texte un peu différent (notamment par l'inversion des couplets 2 et 3) de celui d'origine (le texte tel que figurant au recueil Chansons et poésies diverses de C. A. Moreau est reproduit dans la colonne de droite).
La chanson figure aussi (pp. 197-8) à la Lyre des francs-maçons en 1830.
Et on la retrouvera (pp. 110-2) dans le recueil d'Orcel de 1867.
Le fleuve de la vie,
Par le Frère Moreau.
Air : Du fleuve de la vie.
Tandis que l'homme solitaire, Voyez ce fripon qui calcule Laissant murmurer la sottise Faisons du bien, a dit le
sage ; Prenant la vertu pour étoile, |
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