Les Fra-Maçonnes, scène I, suite
La scène I de la parodie intitulée Les Fra-maçonnes est une des plus longues, c'est la raison pour laquelle nous l'avons tronçonnée en 3 pages. Celle-ci est la 2e.
Au début de la scène, le Vénérable a appris par le Surveillant que la réunion qu'il se préparait à présider risquait d'être perturbée par l'arrivée d'une cohorte de 30 femmes.
Voilà maintenant qu'il apprend que la meneuse en est Hortense.
Le Surveillant (qui, au contraire du Vénérable, se montre extrêmement mysogine) comprend bientôt qu'en fait le Vénérable est amoureux de cette Hortense, ce qui complique considérablement la situation.
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LE VÉNÉRABLE. Des femmes savoir nos mystères ! LE SURVEILLANT. Ce sont celles qui dans Paris LE VÉNÉRABLE. Cliquez ici (midi) ou ici (MP3) pour entendre l'air du Prévôt des marchands selon la partition de Ligou En ces lieux qui conduit leurs pas ? LE SURVEILLANT. C'est cet objet si plein d'appas, LE VÉNÉRABLE. On trouve ici, sous le n° 30 auquel renvoie cette page, la partition d'un air Je n'y puis rien comprendre qui a la même métrique (888844686). Hortense ! Oh Ciel ! Que me dis-tu ? LE SURVEILLANT. Eh bien ! LE VÉNÉRABLE. Qu'elle est belle ! |
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LE SURVEILLANT. Quoi, votre coeur est abattu ! LE VÉNÉRABLE. Non, je la hais. LE SURVEILLANT. Vous l'aimez : allons, Frère, On trouve ici, sous le n° 113 auquel renvoie cette page, la partition de l'air Ma raison s'en va bon train. Mais quoi, ce minois trompeur [ndlr : Il manque visiblement ici la mention LE VÉNÉRABLE] Cliquez ici pour entendre l'air Ne Vlà-t-il pas que j'aime. Hortense ne mérite pas |