Le recueil de Delahaye

Ce recueil de

 

 Cantiques

maçonniques

 chantés par

 le Frère M. Delahaye 

A diverses fêtes solsticiales

de la Loge chapitrale

 Saint-Pierre des Vrais Amis,

 Orient de Paris

Imprimé en recueil par décision de ce Respectable Atelier en 1843.

 

a été imprimé à Paris en 1843. Il est disponible sur Gallica.

Le recueil lui-même date de 1843, mais les chansons qu'il contient peuvent à notre avis être largement antérieures à cette date : le recueil semble constituer en fait un florilège des chansons composées par Delahaye tout au long de sa carrière maçonnique, laquelle s'est probablement étalée sur un bon nombre d'années. La chanson de la p. 9 par exemple semble avoir été composée pour le cinquantenaire de la Loge, ce qui la ferait remonter à 1830.

Le recueil contient 16 chansons, qui présentent évidemment l'intérêt d'être toutes originales et - à l'exception d'une seule, celle de la p. 18, déjà publiée en 1840 par Le Globe - inédites jusqu'alors.

En voici la liste :

page Titre  air incipit 

5

LA LOGE D'ADOPTION

Au sein d'une fleur

Il faudrait être Anacréon

7

LA MAÇONNERIE

Voilà, voilà le vieux soldat

L'homme sur cette terre

9

LA CHAINE D'UNION

Francs buveurs, que Bacchus attire

Francs-Maçons, frères de Saint-Pierre

10

TOUT ET PARTIE

De la pipe de tabac

Pour fêter aujourd'hui saint Pierre

11

LES MÉDAILLES

Sur tout on a fait des chansons

Quand Saint-Pierre des Vrais-Amis

13

LA FAMILLE

Tout va d'fil en aiguille

Que j'ai de plaisir à vous voir

15

LES VERTUS MAÇONNIQUES

Brennus disait aux bons Gaulois

Amour, honneur, respect à toi

16

LE DESSERT

Une fille est un oiseau

Mes frères, dans vos banquets

18

LES MÉDAILLES du Grand Orient

Du preux sans reproche et sans peur

Au sage Nestor des Maçons

21

L'AFFILIATION

de l'Enfer de Béranger

Vite un cantique

24

LES TROIS SOEURS

Femmes voulez-vous éprouver

Trois Soeurs un jour se mariaient

25

LE LOUVETEAU

Le joli carillon

Par esprit plus que fraternel

27

UN MAÇON

Tant qu'il reste une goutte encore

A l'oeuvre on juge l'ouvrier

29

L'AN 1842

Air d'une ancienne contredanse

Vive mil huit cent quarant'-deux !

32

LE TRAVAIL

Sur le refrain connu

C'est un péché que la paresse

34

LE CHAPITRE

Rions, chantons, aimons, buvons

Aux banquets d'hiver et d'été

 

Retour au sommaire du XIXe :

Retour au sommaire du Chansonnier :