Cantique
chanté à l'Aménité de Philadelphie
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Ce cantique provient des pages 103-4 du recueil édité par Desveux en 1804.
Comme pour les autres Cantiques et Couplets des pages 100 à 128 de ce recueil, il est mentionné qu'il a été chanté à la Loge de l'Aménité à l'Orient de Philadelphie. Cette Loge, constituée sous le n° 73 par le Grand Orient de Pennsylvanie et en bonne partie formée d'exilés français venus de Saint-Domingue, y était dénommée Loge française.
Et, effectivement, le cantique provient (p. 15) du recueil publié par cette Loge en 1801.
L'auteur, le Frère Laneuville, est également celui de plusieurs autres cantiques de ce recueil, dont celui-ci.
La référence à Astrée est traditionnelle à cette époque.
Voir ici sur l'air Chantons les matines de Cythère.
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Cantique Air : Chantons les matines de Cythère.
Refrain
La divinité qu'on y révère Astrée, en abandonnant la terre, Au sein des vertus sachons sourire : Réunissons-nous, Maçons sincères, Ah ! si la vertu quittait la terre Mais s'il est ici quelque profane, Par le Frère Laneuville. |
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