Couplet à des Visiteurs
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Ce couplet de Jacquelin figure à la page 36 de la Lyre maçonnique pour 1809.
COUPLET A DES VISITEURS
AIR : j'commençons à m'en apercevoir
QUAND je vois l'hospitalité
Prescrite chez nos pères,
En vérité,
Mes frères,
Je suis surpris
Et je me dis:
Par la morguienne !
C'est bien sans peine,
Eh ! oui, morguienne,
C'est bien, c'est bien sans peine
Que l'on reçoit un visiteur,
Car c'est à nous qu'il fait honneur,
Oui, c'est à nous qu'il fait honneur,
Traitons-les tous, mes frères,
Mieux que faisaient nos pères.
JA JACQUELIN
Voir l'air.
La chanson est reproduite en 1816 par Jacquelin lui-même dans son Chansonnier franc-maçon (p. 46).
On remarquera que le dernier vers mieux que faisaient nos pères fait référence au texte de la chanson d'origine, comme faisaient nos pères.