An die Freundschaft

En cliquant ici, vous entendrez le 1er couplet de la partition de Gürlich, interprété par les Rhein-Main-Vokalisten dirigés par Jürgen Blume

Cliquez ici pour entendre le fichier de la partition de Gürlich, séquencé par Christophe D.

Cliquez ici pour entendre le fichier de la partition d'André, séquencé par Christophe D.

Le deuxième volume des Freimaurer Lieder mit Melodien, herausgegeben von Böheim (1795) contient (n° 11, p. 57) la partition (avec accompagnement) et le texte du lied An die Freundschaft qui est une composition de Gürlich.

On retrouve cette partition, dans une version sans accompagnement, mais plus lisible (reproduite ci-dessous), au recueil de W. Stukenberg & P. Hötzel, Liederbuch für Freimaurer (p. 26).

Le texte (qu'on retrouve dans de nombreux chansonniers) en est attribué, chez le premier, à Herklots, et chez le second (qui donne la date de 1792) à Gürlich lui-même (sans doute erronément).

1.

Bestätigt ihn, nach alter deutscher Weise 
Den Bund, der uns vereint; 
Und trinket froh in treuer Brüder Kreise ! 
Der Freund bring' es dem Freund!

2.

So rein, so gut, wie unsre deutschen Reben 
Bleib' ewig unsre Brust! 
Dem Bruder treu, der Freundschaft ganz zu leben
Dies sei uns Himmelslust.

3.

Heil, jedem Heil, wenn er mit treuem Herzen 
Den Bruder innig liebt; 
Der's fühlt und hilft, wenn Drang von bittern Schmerzen 
Des Freundes Auge trübt.

4.

Heil allen unswenn keiner diesen Tempel 
Durch nied're Tat entweiht 
Wenn ewig uns der Tugend echter Stempel
Verehrungswürdig bleibt.

5.

Bestätigt denn nach alter deutscher Weise 
Den Bund der uns vereint 
Und trinket froh in treuer Brüder Kreise! 
Der Freund bring es dem Freund.

Merci d'avance à qui voudrait bien fournir une traduction de ce texte

Ce lied fait l'objet de l'enregistrement qui occupe la plage 6 du CD Aus diesen heiligen Hallen - Freimaurermusik aus dem Tempel der Loge Zur Einigkeit Frankfurt am Main (CD Prospect LC03695, interprétation des Rhein-Main-Vokalisten dirigés par Jürgen Blume).

Le même recueil Liederbuch für Freimaurer propose également (en vis-à-vis, p. 27) une version du même texte utilisant un air (profane ?) de Johann André (qui n'est d'ailleurs pas ici désigné comme Frère - son appartenance ne semble d'ailleurs pas absolument certaine).

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