COUPLET MAÇONNIQUE

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La Lyre maçonnique pour 1811 contient (p. 79) ce couplet (anonyme) qui résume parfaitement la thèse si souvent évoquée dans le chansonnier : dans les loges (d'adoption), ne règne que la pure et vertueuse amitié fraternelle, la Sagesse (personnifiée par Minerve) y interdisant l'accès de l'amour.

Il s'agit en fait d'un couplet d'une chanson du XVIIIe, couplet qui ne se trouve que dans une des éditions de cette chanson, celle de Sophonople.

Voir ici sur l'air Ce magistrat irréprochable (la version précédente avait choisi plutôt le Vaudeville d'Epicure).

COUPLET MAÇONNIQUE.    Air : Ce magistrat irréprochable.   L'Amour, ce tyran redoutable,  Chez nous ne pénètre jamais ;  Minerve nous est favorable,  Elle en repousse tous les traits :  Un dieu nous guide et nous éclaire  Dans des sentiers bien peu connus ;  Si quelqu'un de nous cherche à plaire,  C'est sous l'étendard des vertus.