Noël : Méprisons de nos envieux
Cliquez ici (midi) ou ici (MP3) pour entendre l'air, d'après la partition de la Lire
Ce couplet fait partie de la suite de Noels qui sont communs à la Lire (pp. 413 à 425) et au Recueil de chansons des francs-maçons à l'usage de la Loge de Ste Geneviève (pp. 85 à 92).
Il s'y trouve respectivement aux pages 424 (dans la série des pp. 418 à 425, intitulée Autres Noels) et 91 (dans la série des pp. 88 à 91, intitulée suite de Noels en G re sol par les Freres Paris et Timebor).
Méprisons de nos envieux
Les sentimens injurieux.
Ne songeons qu'à nous rendre heureux
Dans ce séjour délicieux.
On trouvera ci-dessous les partitions respectives, Ste Geneviève à droite et la Lire à gauche. Texte et partition (d'ailleurs équivalente, à la tonalité près, à celle d'un autre Noël de ces mêmes recueils) se correspondent.
La p. 357 d'un recueil apparenté, celui que nous avons appelé le pseudo-chansonnier de Sainte-Geneviève, d'une part nous apprend que l'air est celui de A la venue de Noel, et d'autre part nous donne un texte présentant quelques différences de forme :
Rejettons de nos envieux
Les sentimens injurieux ;
Cherchons tous à nous rendre heureux,
Dans ce séjour délicieux.
On retrouvera cette chanson (p. 265) à la Muse maçonne de 1806, où elle fait partie d'une chanson unique intitulée Autres Noëls et qui reconstitue l'ensemble mentionné ci-dessus.