A UN NOUVEAU REÇU
Cliquez ici (midi) ou ici (MP3) pour entendre le fichier midi donné pour cet air par la p. 342 de la Lire
Cette chanson (qui fait partie de celles qui sont absentes des éditions antérieures) figure aux pp. 449-50 de l'édition 1787 de La Lire Maçonne, la chanson précédente étant ramenée sur une page .
Voir ici sur l'air Le cœur de mon Annette, qui comme indiqué est utilisé par une autre page (342) de la Lire.
On pourrait s'étonner d'une certaine discordance entre le caractère extrêmement sérieux des couplets, exaltant les mérites de la maçonnerie pour en pénétrer le nouveau reçu, et le caractère plutôt guilleret du texte du refrain, qu'on s'attendrait plutôt à trouver dans une chanson à boire. Mais il ne s'agit peut-être que de lui rappeler le fait que, dans le monde profane dont il sort, on entend parfois dire beaucoup de mal de la maçonnerie ?
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A UN NOUVEAU REÇU.
Air : Le cœur de mon Annette. Pag. 342.
VOus qui de la
lumlere
Nos Temples sont l'Ecole,
Admis dans cet asyle,
Compatîssant & tendre,
Ici point d'arrogance,
Nous y faisons paroître
Jugez quel avantage |
On retrouvera cette chanson en 1806 dans la Muse maçonne (p. 274), d'où elle sera recopiée, avec le titre A une nouvelle initiée, dans le recueil Eleusine (p. 76).