Il n'est qu'un pas du mal au bien

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Le roi et le fermier est une comédie (1762) en trois actes de Monsigny et Sedaine, d'après Robert Dodsley. Ne perdons jamais l'espérance est le premier vers de son vaudeville final :

Ne perdons jamais l'espérance,
L'orage écrase nos Forêts ;
Mais l'orage amène la paix,
Et de là ton bonheur commence.
Il ne faut s'étonner de rien,
Il n'est qu'un pas du mal au bien. 

L'air en est donné, au numéro 232, par la Clé du Caveau (3e édition) sous les titres alternatifs vaudeville du Roi et le Fermier ou il n'est qu'un pas du mal au bien (qui est précisément un autre vers de cet air, vers qui a donné son sous-titre à l'oeuvre de Dauberval en 1789, La fille mal gardée).

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