Les bienfaits de l'amitié
Cette chanson sans titre figure aux pp. 24-26 de l'annuaire 1810 de la Clémente Amitié. Comme pour la précédente (p. 22) et la suivante (p. 26), le signataire est le Frère Colincamps fils. Nous ne connaissons pas d'autre édition de ce texte. Aimable
Chaulieu, Lafare, Qui sont donc cet aimable Chaulieu et ce Lafare mentionnés au couplet 3 ? On ne rencontre ni Chaulieu ni Lafare au tableau de la loge ; par contre, c'est précisément en cette même année 1810 que paraissait chez Mame, avec grand succès, une des nombreuses éditions de l'ouvrage Poésies de Chaulieu et du marquis de la Fare ; il faut voir là l'origine de la référence à ces doux émules de Pindare que souhaiterait imiter Colincamps. Le dernier couplet reprend un thème classique : l'auteur compte sur la complaisance fraternelle de son public pour solliciter son indulgence. |
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