Frauenlob
Cliquez ici pour entendre le fichier midi de la première partition (Tag), séquencé par Christophe D.
Cliquez ici pour entendre le fichier midi de la deuxième (Naumann), également séquencé par Christophe D.
Merci d'avance à qui voudrait bien fournir une traduction du texte
Le Freimaurer-Wiki a recensé pas moins de 7 versions pour le texte d'une chanson intitulée An die Schwestern (aux Soeurs).
Sous le titre Frauenlob (louange des femmes), nous avons trouvé deux partitions différentes pour la troisième de ces versions, dont le texte est le suivant :
Preißen soll mein Lied die Schöne,
die voll Treu und Vaterland
Einen unsrer Biedersöhne
Ihres Herzens würdig fand;
Die kein Flitterstaat entzückte,
Daß ihr Hertz dem Thoren schlug;
Welche Tugend nur beglückte,
Eine Seele sonder Trug.
Daß sie aus der Mädchen Mitte,
Mit dem Jüngling Hand in Hand,
Um die väterliche Hütte
Keuscher Liebe Kränze wand;
So ein Eden ihm auf Erden
So sein frohes Erbtheil ward,
Daß er, glücklicher zu werden
Kaum noch süßrer Wonne harrt.
Die voll Liebe jeden Morgen
Mit Auroren ihn begrüßt,
Und die männlich schweren Sorgen
Lächelnd von der Stirn ihm küßt;
Sich der Güter dieser Erden
Schwesterlich mit ihm erfreut,
Und auch selbst auf die Beschwerden
Dieses Lebens Rosen streut.
Schwestern ! die ihr diesem Bilde,
Gleichet oder gleichen wollt,
Nehmt den Dank mit holder Milde,
Den euch gern der Maurer zollt!
Zürnet nicht mit unsern Kreisen,
Wann euch Furcht die Loge schliesst!
Denkt, was oft den größten Weisen
Euer Reiz gewesen ist!
On trouve, sous le n° XXXII, la partition de Tag et le texte aux pages 124-7 du recueil Gesänge für Maurer mit neuen Melodien publié à Dresde en 1782.
On trouve une partition de Naumann et le texte, sous le n° 33, aux pages 104-7 du recueil Vollständiges Liederbuch der Freymäurer. Dritter Theil mit ganz neuen Melodien von der Herren Capellmeistern Bach, Naumann und Schulz, 1788.
Le RISM nous apprend qu'il existe également une version par Friedrich Eunicke (1764-1844), qui figure (n° 110) au vol. 2 de l'Auswahl von Maurer Gesängen de Böheim (1798).
Nous voyons ici qu'il existe également une version par Eduard Tauwitz ( 1812 – 1894).
Nous n'avons pas encore effectué d'investigations sur l'appartenance maçonnique de ces deux compositeurs.