Frères, appelons à nos Fêtes
Cliquez ici (midi) ou ici (MP3) pour entendre l'air de la p. 56 de la Lire (qui est celui de la p. 50)
Nous avons trouvé cette chanson aux pp. 111-2 d'une des éditions (celle dite E) des Recueils de Jérusalem.
Elle figure également :
dans les diverses autres éditions que nous connaissons de ces chansonniers dits de Jérusalem (A p. 97, B page 111, C p. 124, D p. 102, F p. 119)
Il est à noter que :
le premier couplet est pratiquement identique au 4e couplet de la chanson des pp. 56-7 de la Lire maçonne
les 4 derniers vers du 2e couplet sont identiques à ceux du 3e couplet de la même chanson de la Lire.
Comme il n'y a pas de mention d'air, il nous semble dès lors légitime de supposer que cette chanson peut se chanter sur le même air que celle des pp. 56-7 de la Lire maçonne.
Mais, à l'édition web de l'édition 1783 du recueil de Lausanne, on trouve (p. 210) cette annotation manuscrite :
Air : Sois sensible, ô mon Euphrosine ou Je suis Vaudois et militaire.
Nous n'avons malheureusement rien trouvé ni sur l'un ni sur l'autre.
|
CHANSON.
FReres,
appellons à nos Fêtes
Ici, cette vive lumière
Passons la nuit à cette table,
Maître ainsi de ses destinées,
|