Couplets
chantés par une Soeur
dans la Loge d'Adoption
de La Parfaite Egalité
Cliquez ici (midi) ou ici (MP3) pour entendre le fichier midi de la partition, séquencé par B. A.
Dès le XVIIIe, il arrive occasionnellement qu'on trouve des chansons maçonniques dans des recueils ou des gazettes profanes. Par exemple, le numéro du 8 février 1784 du Journal de Paris publiait ces
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Il nous semble hors de doute que cette Société soit la Loge parisienne de la Parfaite Egalité, Loge fondatrice en 1775 de la célèbre Loge d'Adoption de la Candeur.
La chanson évoque quelques thèmes classiques du chansonnier maçonnique, y compris l'Age d'Or, et ne manque pas, comme souvent à l'époque, de mettre en évidence le nom de la Loge.
Le dernier couplet rejoint l'opinion de Ramsay, selon laquelle il faut en maçonnerie rendre la vertu aimable par l'attrait des plaisirs innocents ... et d'une gaieté raisonnable.
Voir sur l'air La lumière la plus pure. En séquençant son fichier midi, B. A. a également réalisé un pdf (avec texte) de cette partition. Cliquez ici pour le voir et/ou l'enregistrer.
Couplets qui ont été chantés dans une Société sous le nom de la parfaite Egalité, par une jeune personne qui venoit d'y être admise. Sur l'Air: De l'Aveugle de Palmire.
La lumière la plus pure
Heureux tems du premier Âge,
Ainsi que la fleur nouvelle, |