Le Récipiendaire 

 Cliquez ici (midi) ou ici (mp3) pour entendre cet air

 

Le Frère Delalande, (presque) inamovible Vénérable, et fertile poète, de la Loge douaisienne de la Parfaite-Union sacrifie ici à la mode du genre poissard lancée au XVIIIe par Vadé et qui sera également pratiqué par Désaugiers avec son Cadet Buteux et par Bazot avec son personnage-fétiche, Jean-Louis-Chrysostome-Richôme-Jérôme DUBUIS, maître Passeux t-à la Guernouillère.

Nous avons trouvé cette chanson, sous le n° 24, aux pp. 45-7 du Recueil de cantiques et de poésies, daté de 1807, de la Loge douaisienne de la Parfaite-Union, recueil qui figure, sous la cote Bibliothèque municipale de Lyon SJ R 335/30.3, dans les collections de cette Bibliothèque, laquelle nous a obligeamment autorisé à faire usage sur ce site des clichés (crédit photographique Bibliothèque municipale de Lyon, Didier Nicole) qu'elle nous en a fournis, et que nous avons adaptés pour les mettre aux normes du présent site.

Voir l'air.

On remarquera que le dernier vers comme faisaient nos pères fait référence au texte de la chanson d'origine.

Retour au sommaire des recueils de Douai :

Retour au sommaire du Chansonnier :