Nicht blos für diese Unterwelt
Cliquez ici pour entendre le fichier midi de la partition à deux voix, séquencé par Christophe D.
Nous avons trouvé cette partition d'un Freundschaftslied de Satzenhoven dans deux recueils maçonniques : dans le recueil 1799 de Böheim (n° 89, p. 224) et dans le recueil de Hurka (pp. 64-5, reproduites ci-dessous).
Voici le texte, dont nous connaissons aussi une version par Rungenhagen :
Nicht blos für diese Unterwelt Dort wird der Freundschaft hoher Werth, Sieh, Freund! die letzte Stunde eilt, Doch soll für dich mein letzter Blick |
Ici-bas,
tel un ruisseau, Quand l'amitié accède à sa plus haute valeur, Regarde, Ami ! La dernière heure approche, Car mon dernier regard sera pour toi ; |
On trouve également cette partition avec une deuxième voix, et sous le titre Freundschaft et sans nom d'auteur, en 1812 à la p. 102 du recueil (1812) Zwey und sechzig Freymaurer-Lieder mit Melodien Zum Gebrauch der Loge zu den drey Degen in Halle :
Mais cette fois le texte (qu'on trouve également ici), s'il présente avec le précédent quelques points communs, notamment tout le premier couplet, diffère par la suite et n'est qu'en 3 couplets :
Nicht bloss für diese Unterwelt Schlingt sich der Freundschaft Band; Wenn einst der Vorhang niederfällt, Wird erst ihr Werth erkannt; Dort wo der Freude Urquell ist, Nichts unser Auge trübt, Wo sich das stille Herz ergiesst, Und ewig lebt und liebt. Dort wird der Freundschaft hoher Werth, Wenn nun die letzte Stunde eilt, |
Ici-bas,
tel un ruisseau, Serpente le lien d'amitié ; Lorsque tombe le rideau, Sa force est reconnue. Là où la joie est source Rien ne voile nos yeux ; Là où le cœur serein s’épanche On vit et aime pour l’éternité.
(merci à qui voudrait bien compléter cette traduction)
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