Cantique de clôture
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Ce Cantique de Clôture figure (pp. 244-5) à la Lyre des francs-maçons de 1830.
Aucun air n'est mentionné, mais ce n'est pas nécessaire puisqu'il est évident qu'il s'agit d'une adaptation, propre à la Loge mentionnée, du célèbre Chant des Apprentis - lequel d'ailleurs est précisément utilisé généralement comme Cantique de Clôture.
Tout en reprenant textuellement certaines phrases du cantique d'origine, Quentin y introduit des éléments inédits : une bonne dose de religiosité dans le 3e couplet et, dans le 2e, des destinations spécifiques (naïvement numérotées) des Santés qui traduisent les préoccupations de l'époque : l'intolérance d'une partie du clergé, l'espoir d'être gouverné par un souverain ami des lumières (la chanson date sans doute de la fin du règne de Charles X, qu'on ne peut assurément pas considérer comme tel), l'empathie avec les exilés et les combattants de la liberté.
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CANTIQUE DE CLOTURE.
JOYEUX et bons Maçons
1°
Au captif secouant
Joignons-nous mains en mains,
Ch. QUENTIN. Vénérable de la Loge Philantropie (sic), Orient de S.-Quentin. |