Le Feu maçonnique
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La plus ancienne version que nous connaissions de cette chanson est aux pp. 127-9 du volume 8 des Annales maçonniques de Caillot (c'est ce texte qui est reproduit ci-dessous dans la colonne de droite).
On le trouve aussi aux pages 166-9 du Nouveau Code Récréatif des Francs-Maçons.
Quelques décennies plus tard, on les retrouvera aux pp. 105-7 du recueil d'Orcel de 1867. C'est à cette édition que correspondent les images ci-dessous.
Le Frère Letenneur est mentionné dans toutes les versions comme l'auteur ; il est également le signataire, dans le Nouveau Code Récréatif, d'une autre chanson, qui semble le désigner comme membre de la Loge écossaise de Jérusalem : cela nous est confirmé par le fichier Bossu qui le désigne comme Jean-François Letenneur, né à Challans le 18.4.1786, chirurgien à l'hospice Beaujeu, affilié à ladite Loge le 28.8.1809.
Voir l'air (qui est mentionné par toutes ces éditions) Mon père était pot.
LE FEU MACONNIQUE.
Air : Mon père était pot.
Frère, dans ce jour, sur le feu
Le soleil n'est qu'un brûlant feu
Ce feu de l'aimable gaîté
Ce feu, par sa vive chaleur,
Mes amis, des feux de Vénus
Puisque le feu des Francs-Maçons
LETENNEUR. |