Cantique des Rigides Observateurs
Les pages (ou extraits de page) ci-dessus sont les pages 226 et 227 du Dictionnaire Maçonnique
Le nom de la Loge parisienne des Rigides Observateurs apparaît en fin de chaque couplet.
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L'air mentionné est celui de Ah! que je fus bien inspirée. Cet air (ci-dessous) provient de la tragédie lyrique en trois actes Didon (1783) de Niccolò Piccinni (1728-1800) - qui fut membre de la Loge des Neuf Soeurs - sur un livret (d'après Métastase, 1698-1782) de Jean-François Marmontel (1723-1799), membre de la même Loge et considéré comme un maître de la libre pensée et un champion de la tolérance (Ligou). à droite : Marmontel (image du site de l'Académie française) Le fac-similé du texte de Didon est intégralement disponible sur le site de la Bibliothèque Nationale de France, où il est référencé sous le numéro N072308. |
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