Cantique

à la Triple Union

Cliquez ici pour entendre l'air de la partition de Casadesus

Ce cantique à l'amour fraternel provient des pp. 11-14 du recueil d'Honoré. Nous n'en avons pas trouvé d'autre édition.

Il a existé à notre connaissance une Loge de la Triple Union à Dinan (mais elle ne date que de 1787), à Marseille (1782), à Chambéry (1800), à Wissembourg (1787) et à Reims qui, même si sa médaille (ci-dessous) porte la date de 1812, date de 1762 (selon certaines sources, elle remonterait à 1751 ou même 1741 ; elle avait pour devise Virtuti Paci et Silentio).

Deux mains enlacées, pouvant sembler sortir de nuages, se rencontrent souvent dans les médailles maçonniques, comme c'est le cas pour la Loge bruxelloise Les Vrais Amis de l'Union et du Progrès Réunis ou la montoise Parfaite Union. Ici, trois mains sont nécessaires pour symboliser la Triple Union.

Voir ici sur l'air Monseigneur, vous ne voyez rien (qui est aussi celui de la chanson Aimons, aimons-nous, sur laquelle le présent cantique est visiblement calqué).



       
          

On trouve ici un usage particulier d'une variante du refrain.

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