An einen neuen Bruder
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Nous avons trouvé plusieurs partitions différentes pour ce chant d'accueil d'un nouveau maçon, intitulé An einen neuen Bruder (ou An einen neu aufgenommen Br.) dont l'incipit est Unsrer Baukunst erste Lehren (la première leçon de notre architecture).
An einen neuen Bruder 1. Unsrer Baukunst erste Lehren, Chor. Einst wirst du noch grössre hören, 2. Tugend hat die festen Säulen Chor. Ihm mehr Reitz noch
mitzutheilen, 3. Die, die Nahrung ihrer Stralen Chor. Und nie überguldte Schalen 4. Königin bei unsern Mählern Chor. Frey von Stolz und Modefehlern 5. Ernst und Freude gehn beysammen Chor. Neuer Bruder! wir verdammen 6. Hand in Hand, trinkt, edle Briider! Chor. Lehrt ihn Weisheit — Unsre Lieder, |
A un nouveau Frère 1. Les premières leçons de notre art de construire Choeur Un jour tu apprendras plus important encore ; 2. La vertu a érigé les solides colonnes Choeur Et pour lui donner encore plus de vigueur 3. Celui qui irradie la lumière Choeur Jamais devant des plateaux couverts d’or 4. La Reine qui préside à nos agapes Choeur Libre de toute vanité et des passades de la mode. 5. Sérieux et joie se mélangent Choeur Nouveau Frère ! Nous condamnons seulement 6. Main dans la main, bois gaiement, noble Frère, Choeur Enseigne-lui la sagesse – Que nos chansons |
Le Vollständiges Liederbuch der Freymäurer mit Melodien, Erstes Buch, 1776 de Scheibe donne cette partition au n° 58, p. 166 :
On retrouve cette même partition au n° 46 (p. 88) du recueil Lieder zum Gebrauch in den Logen (Breslau 1777).
On trouve la deuxième aux pp. 26-7 du recueil (1785) Freimaurerlieder in Musik gesetzt zum Gebrauch einiger Logen in Riga und Livland, qui ne donne aucune information ni sur l'auteur ni sur le compositeur (qui pourrait être Röllig).
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Une autre partition figure (n° 21, p. 34) dans le 1er fascicule des Freimaurer Lieder mit Melodien, herausgegeben von Böheim (1795). Ici le compositeur est mentionné, c'est Ambrosch. Le RISM donne d'ailleurs le début de cette partition d'Ambrosch.
Le texte est un peu différent, et le choeur ne répète pas exactement les vers précédents :
1.
Unsrer Baukunst erste
Lehren,
Neuer Bruder, weisst du nun,
Einst wirst du noch grössre hören,
Doch erst musst du diese thun.
Chor.
Willst du grössre Weisheit hören,
So such deine Pflicht zu thun.
2.
Tugend hat die festen Säulen
Unsers Tempels aufgestellt,
Noch mehr Reiz ihm mitzutheilen,
Hat sie Lust dazu gesellt.
Chor.
Reiz dem Tempel mitzuteilen,
Hat sie Lust darzu gesellt.
3.
Luft, die Nahrung ihren Stralen
Gleich der Sonne, selbst besorgt,
Und nie übergoldte Schalen
Von profaner Freude borgt.
Chor.
Die nie übergoldte Schalen
Von profaner Freude borgt.
4.
Königin bei unsern Mählern
Ist vertraute Fröhlichkeit;
Frei von Stolz und Modefehlern
Lebt man hier nach alter Zeit.
Chor.
Frei von Stolz und Modefehlern
Leben wir nach alter Zeit.
5.
Ernst und Freude gehn beisammen
Wie die Wahrheit und der Wein;
Neuer Bruder! wir verdammen
Nur den Rausch, nicht Lust und Wein.
Chor.
Neuer Bruder, wir verdammen
Nur den Rausch, nicht Lust und Wein.
6.
Hand in Hand, trinkt, edle Briider,
Froh dem Jüngstgebohrnen zu:
Lehrt ihn Weisheit — unsre Lieder,
Höh're Tugend! heilge du!
Chor.
Bruder, lerne nicht blos Lieder,
Tugend, Weisheit suche du!
4
Ernst Deeke semble s'être inspiré de la dernière partition ci-dessus (sans choeurs) pour un nouveau texte de son cru, mais dont les deux premiers vers sont identiques. On trouve ce lied sous le n° 28 (p. 45) au recueil de W. Stukenberg & P. Hötzel, Liederbuch für Freimaurer :